Voici comment l'éditeur présente ce récit sur son site :
Chaque matin, à une heure où le coq dort encore, le Felice quitte le village et part vers les sommets qui dominent le Val Blenio, personne ne sait vraiment où. Jusqu'au jour où le narrateur, arrivé de la ville, décide de lui emboîter le pas. Voici le récit de ses journées passées en compagnie du vieil homme et des habitants du village, au contact d'une existence marquée par les mêmes habitudes immuables, les gestes simples et beaux de ceux qui ont construit une relation privilégiée avec la nature. L'écriture de Fabio Andina, aussi sobre que sensible, instille dans Jours à Leontica le rythme lent et serein d'une existence passée au coeur de la montagne.
Un petit aperçu du quotidien du Felice ? C'est par ici.
(Présentation de l'éditeur)
Une langue simple pour nous offrir le quotidien du Felice, vieil homme ayant toujours vécu à Leontica. Une immersion qui, au-delà des habitudes, nous donne à découvrir un lieu, un temps ainsi qu'un dialecte.
On apprendra, par exemple, que l'on peut prendre une brioche accompagnée de caotina en jouant à la scopa dans une baita. Le nocino attendra, mon natel vient de sonner. Avec une légère traduction : brioche (croissant fourré à la crème), caotina (marque de cacao suisse), scopa (jeu de cartes italien), baita (chalet d'alpage), nocino (digestif à base de noix) et natel (équivalent suisse de téléphone portable). Vous trouverez une petit glossaire en fin d'ouvrage.