Kizu, c’est la blessure, la fêlure. C’est un mot japonais qui désigne aussi bien un trouble de l’âme qu’une trace de canif ou l’imperfection d’un objet.
Un homme, à Tokyo, voit apparaître dans sa vie, en même temps que la première fissure, la très belle Yuko, si belle qu’on aurait presque pu croire qu’elle ne mourrait jamais.
Glissements, secousses, convulsions souterraines, le quotidien se remplit alors d’inquiétudes.
(Présentation de l'éditeur)
Un homme nous raconte un épisode de sa vie, une faille. Le récit d'un état amoureux dans le Japon contemporain.