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L'écrivain, marcheur passionné, nous offre dans ce récit à travers les forêts de Sologne, Paris et le reste du monde, une observation aiguë de ses marches et de ses pensées. Il réfléchit sur sa pratique de la marche et partage des souvenirs personnels, des réflexions philosophiques sur la liberté, la nature, la foi et le néant.
[...] Pascal Picq prend ici le chemin de la philosophie et s'interroge : « Est-ce que je marche, donc je suis ? » Ou faut-il dire : « Je suis, donc je marche » ? Dans nos sociétés toujours plus sédentaires, le geste de la marche est menacé d'oubli. Pourtant, la survie de notre espèce et notre liberté en dépendent.
Précurseur de la préservation de la faune et de la flore aux Etats-Unis ce livre paru de façon posthume en 1949, n'a pas pris une ride. Dans la première partie des observations et réflexions sur la vie sauvage au fil des mois de l'année. Dans la seconde, il continue ses considérations toujours dans un langage lent et poétique à propos de la destruction de la grande prairie américaine.
Des acteurs de tous bords, engagés, suggèrent des solutions tangibles pour édifier un futur différent, dans le but de faire face à l'écologie catastrophique et à l'anxiété écologique. Les différents acteurs sont présentés à travers les chapitres et reviennent sur leur pensée et leurs engagements. Des idées, desréflexions qui permettent de voir avec un peu plus d'optimisme le futur.
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