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Précurseur de la préservation de la faune et de la flore aux Etats-Unis ce livre paru de façon posthume en 1949, n'a pas pris une ride. Dans la première partie des observations et réflexions sur la vie sauvage au fil des mois de l'année. Dans la seconde, il continue ses considérations toujours dans un langage lent et poétique à propos de la destruction de la grande prairie américaine.
Un récit de voyage, le pouce levé, sur les routes qui mènent vers l'Asie centrale
Un recueil vivifiant et drôle de nouvelles et récits sur la pêche par un aficionado de cette pratique. Malgré un vocabulaire parfois trop technique, sa lecture reste agréable car les grands espaces et la nature y sont bien décrits.
Gloire et déboires, tel est le menu de cet opus de l'écrivain-pêcheur ou plutôt l'inverse. La plume est toujours aussi habile, drôle et parfois touchante et l'on se prend à aimer cette pratique solitaire en milieu naturel au fil des pages. Un peu moins technique que ces précédents ouvrages, cette lecture s'est une nouvelle fois révélée plaisante.
Un récit, parsemé de précis historiques ou d'instants poétiques, autour du terroir charentais, de ses vignes et du précieux cognac.
A travers 14 chapitres et deux cahiers photos, Doug Peacock, aventurier engagé, marcheur infatiguable, activiste de la première heure et conteur hors pair nous propose une autobiographie passionnante et enthousiaste. On y retouve sa passion pour les ours, son combat pour la protection de l'environnement, son attirance pour les grands espaces, ses rencontres hautes en couleurs... Bref, on a aimé et on vous recommande chaudement cette lecture !
Un récit au fil des saisons qui se veut optimiste et interroge parfois. La plume de l'autrice est alerte et conte un quotidien où riment écologie et bien être, le plus souvent avec un enthousiasme non feint.
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